cahier de pensées éparses
On en est au jour 30 de mon défi 365 (pour savoir en savoir plus sur mon défi 365, voir article précédent intitulé 10 ans). Je prends donc un moment pour vous faire part de mes pensées sur l’expérience jusqu’ici. Donc 30 jours et vingt-neuf images. Elles ne passeront pas toutes à la postérité, mais de mon point de vue, elles ont toutes leur utilité. Ne serait-ce que celle de m’arrêter le temps de voir ce qui dans ma journée, dans ma vie, est un élément de créativité. Pour quelqu’un qui, comme moi, court sans cesse après le temps et pour qui la vie déboule à une vitesse étourdissante, ce moment pris dans la journée est comme reprendre mon souffle, comme un nageur avant un plongeon dans les profondeurs tumultueuses de ma vie. Ainsi, du côté des bénéfices, je prends un moment quotidiennement pour me recentrer et je fais un effort pour m’assoir et dessiner régulièrement. Je sors mon crayon plus souvent et même si, quelque fois, je ne fais que gribouiller, ça me dérouille. Ça me libère. Côté obscur, c’est une charge de plus au quotidien. La première semaine a été super : j’étais en vacances et j’ai peint plusieurs heures par jour. Ce qui nourrissait ma créativité et me donnait amplement matière à mon défi. De retour au travail, c’est moins facile… Moins de temps, d’énergie et de créativité, moins de matière. Plus d’improvisation… J’ai choisi ce défi en sachant qu’il y aurait des efforts à mettre et des moments plus durs. Je signe et persiste, plus que 335 jours/ images… Une à la fois. En étant indulgente envers moi-même. J’y arriverai. Je termine en choisissant 8 images (environ 2 par semaines) qui sont mes préférées et en vous disant pourquoi :
1 Commentaire
|
L'AuteurVoici un cahier de pensées éparses sur ma vie d'artisanne, ses divers enjeux et récompenses. Archives
Octobre 2020
Catégories |